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> Informations A.S.C.U.R. France A.S.C.U.R.
France est un organisme agréé de formations
continues créé en 1993.
Le siège national d'A.S.C.U.R. se trouve à
Neuilly sur Seine.
LA FORMATION ET LA PREVENTION |
En complément de mesures réglementaires,
l'Etat cherche à faire appel au sens civique
de chacun au travers d'actions de formation et de sensibilisation,
et par le développement de partenariats avec
les acteurs locaux.
L'enseignement du code de la route dans les écoles
a été rendu obligatoire dès 1957.
Cependant, il était limité à 30
minutes par mois, intégrées à l'horaire
prévu pour l'enseignement civique et moral. De
la même façon, quand l'attestation scolaire
de sécurité routière (ASSR 1er
niveau) a été créée en 1977,
peu d'élèves de classe de 5ème
avaient la possibilité effective de la passer.
Aussi, le CISR de 1981 défend l'adoption
d'une nouvelle politique, visant à améliorer
la formation des conducteurs. Cette démarche
aboutit à la mise en place, en 1987-1988, de
l'apprentissage anticipé de la conduite. Elle
est confirmée avec l'adoption du permis à
points et des stages de récupération de
points en 1992, puis par la généralisation
de l'ASSR de premier niveau et de second niveau en 1993
et 1994, complétés en 1996 par la création
du Brevet de sécurité routière.
A partir de ce dispositif, le CISR du 25 octobre
2000 décide la mise en place d'un continuum éducatif
: une Attestation de Première Education Routière
est délivrée à l'issue de la scolarité
primaire, tandis que l'ASSR 2ème niveau sera
nécessaire pour passer le permis de conduire,
et le BSR exigé pour la conduite d'un cyclomoteur
(décret 2002- 675 du 30 avril 2002).
LA POLITIQUE DE SéCURITé ROUTIèRE
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L'orientation nouvelle de la politique de sécurité
routière adoptée en 1981 vise notamment
à mobiliser et à aider les collectivités
territoriales "propriétaires de la plus
grande partie du réseau routier" à
décliner la politique nationale au niveau local.
Pour ce faire, l'Etat a initié la mise en
place de programmes, telles les enquêtes REAGIR
(Aujourd'hui A.G.I.R.) visant à permettre une
meilleure connaissance en matière d'accidents
; il participe également à l'élaboration
des actions locales par le biais des Plans Départementaux
d'Actions de Sécurité Routière.
Mais la mobilisation des acteurs locaux passe aussi
par la coordination des différentes politiques
contractuelles comportant un volet sécurité
routière (CLS, CLE...) et, plus largement, par
le soutien apporté aux actions de sensibilisation
émanant de l'ensemble des acteurs de la société
civile (au travers des projets "Label Vie"
notamment).
(Source : La Documentation française)
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